Les souverainistes ont opté pour la réunion plénière afin de dresser un premier bilan et de recueillir les avis après six mois d’un nouveau mode de fonctionnement. La réunion s’est tenue le mercredi 17 février 2016, à 10h00.
Ici, le parti développe une stratégie de type territoriale en s’adressant plus particulièrement à de très jeunes enfants. Les programmes d’insertion sociale sont des sortes de catéchisme du savoir où seul l’objectif prime. Depuis le mois de septembre, deux sites ont été fusionnés sous la houlette d’une direction commune, composée d’un directeur, d’une directrice administrative, de deux conseillers et de quelques assistantes.
Tous les efforts ont été concentrés autour d’une première étape, purement administrative. La seconde va directement concerner tous les adhérents à qui le directeur fait part des avancées dans ce domaine. Le public en sera informé le soir même. Les élus, le lendemain.
Des formations seront organisées afin de constituer une équipe de deux fois sept responsables qui seront chargés de définir une éthique derrière laquelle le directeur demandera à tous de se ranger sans plus jamais en discuter le fondement.
On redéfinit ce qu’est le public “habituel” et si l’adhésion au système n’est pas pleine et entière, on préfèrera l’exclusion à l’adaptation.
– Puisqu’il s’agit de fusionner des énergies pour mettre en place un programme commun, pourquoi les équipes n’ont-elles pas été réunies en amont afin d’organiser un débat démocratique sur tout le territoire concerné ?
– Parce qu’il est difficile de rassembler.
L’OFP relève trois défauts de fonctionnement :
- Aucun ordre du jour n’a été envoyé aux adhérents.
- Toutes les décisions ont été prises sans aucune consultation.
- Aucune proposition n’a été faite pour faire taire les vives oppositions qui se sont exprimées.